Le BioAge vous montre la manière dont votre corps fonctionne par rapport à la vitesse standard du vieillissement. Cette donnée, élaboré par EGYM, vous aide à comprendre en quoi vos performances sportives correspondent à la moyenne des personnes de votre âge.
Un des éléments plus qu’intéressants de notre nouvelle application est le BioAge, un indicateur de forme et de santé complet qui tient compte d’une multitude de mesures converties en un BioAge facile à comprendre, qui peut être comparé à votre âge chronologique. Le BioAge associe des mesures et paramètres de santé divers répartis en trois catégories : force/souplesse, métabolisme et cardio
Pour calculer votre BioAge, l’application utilise une analyse sophistiquée composée de divers facteurs scientifiquement éprouvés en lien direct avec l’état de santé, des performances physiques et du système immunitaire. Une approche holistique en somme. En plus, l’application a la possibilité unique d’accéder et se reporter à une banque de données massive.
EGYM fournit donc un calcul extrêmement fiable basé sur des références avec un million de points de données collectées sur plusieurs années, ce qui lui permet d’optimiser encore davantage l’analyse et de la rendre encore plus précise au fil du temps et d’aider les adhérents à atteindre leurs objectifs en matière de santé et de forme physique.
Donc, en fonction de l’énergie que vous mettez à l’entraînement, votre âge biologique pourra être plus bas que votre âge chronologique.
Plus simplement : Si, par exemple, une personne de 50 ans réalise une performance qui correspond à la moyenne de toutes les personnes de 45 ans, cela lui donne un âge biologique plus jeune, soit 45 ans. À l’’inverse : une personne de 30 an mal entraînée qui réalise seulement le résultat maximum moyen des personnes de 40 ans a déjà un âge biologique de 40 ans.
Le BioAge d’EGYM associe des mesures et paramètres de santé divers répartis en quatre catégories :
La valeur de force détermine le poids corporel de l’utilisateur par rapport à sa force. Elle correspond à la capacité d’une personne à effectuer un travail mécanique, et à exercer des forces et des torsions. Une perte de masse et de force musculaire peut entraîner divers problèmes de métabolisme et cardiovasculaires, comme une baisse de la densité osseuse, une augmentation de la masse graisseuse ou du diabète (Westcott, 2012). En outre, les conséquences de la sarcopénie (perte de masse et de force musculaire) sont un problème courant chez les populations d’aujourd’hui, qui peut être efficacement retardé grâce à des exercices de résistance (Morley et al., 2011). Des muscles puissants font également office d’organes endocriniens produisant des myokines protectrices qui rajeunissent le système immunitaire (Nieman et Wentz, 2019).
La valeur du métabolisme donne une idée plus précise sur l’état de santé en mettant en relation le poids, la masse graisseuse et la taille. Elle est calculée d’après l’indice de masse corporelle (IMC), la composition corporelle et le rapport taille-hanches (RTH). L’IMC est un indicateur de santé très populaire et facile à calculer. Un excellent état métabolique est également un indicateur d’un système immunitaire qui fonctionne correctement (de Heredia et al., 2003). Associé au pourcentage de masse graisseuse et au rapport taille-hanches, il indique avec précision le niveau prévu du métabolisme de l’utilisateur.
La valeur cardio (cardiovasculaire) combine la fréquence cardiaque au repos, la tension artérielle et la VO2max. Elle donne un aperçu de la capacité cardiovasculaire, des performances et de la santé. Un système circulatoire sain est également relié à un système immunitaire solide (Kullo et al., 2007). Ces méthodes sont généralement employées en milieu médical pour déterminer l’état de santé d’une personne.
La valeur de souplesse représente la plage de souplesse générale d’un utilisateur par rapport à un groupe de pairs. Elle inclut un aperçu granulaire de la souplesse de certains groupes musculaires. Cet aperçu indique également d’éventuels déséquilibres dans la souplesse de l’utilisateur.
Source : https://egym.com/fr/blog/egym-bioage