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C’pas tout de s’entraîner : Manger un steak dans un marathon

C’pas tout de s’entraîner : Manger un steak dans un marathon

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Balados

Dans une toute nouvelle série de baladodiffusion, le centre Multisports vous invite à découvrir que l’entraînement ne s’arrête pas qu’à lever des poids, suer ou courir un marathon. Coiffé du titre C’pas tout de s’entraîner, ces entretiens visent à jeter un éclairage intéressant et professionnel sur un aspect lié de près ou de pas très loin avec l’entraînement. Dans une première série de six rencontres, Patrick Richard questionne la nutritionniste Joanie Séguin sur l’importance de l’alimentation.

À l’occasion de notre 4e rencontre, Joanie et moi avons discuté de l’alimentation autour de l’entraînement : on mange quoi avant, pendant et après s’être entraîné? Le fameux spaghetti avant une course, est-ce toujours une bonne idée? J’ai entamé cette discussion avec l’idée que je ne savais rien et que je ne me rappelais plus non plus ce que j’avais appris dans les balados précédents. Donc, ne sachant rien, j’apprends de la bouche de la nutritionniste que notre alimentation durant l’entraînement dépend beaucoup de ce qu’on mangeait avant qu’on commence à s’entraîner. En d’autres mots, si vous étiez adepte de deux ou trois moutarde-choux avant de commencer à vous mettre en forme, il est possible que vous ayez à modifier votre régime alimentaire pour optimiser votre remise en forme.

Me suivez-vous?

L’objectif du mariage bonne alimentation et entraînement est d’abord de donner l’énergie nécessaire à votre corps pour qu’il accomplisse les efforts que vous lui demandez. Celui qui s’entraîne léger quelques fois par semaine n’a pas besoin de se lancer dans l’ingurgitation effrénée de glucides. Mais si vous êtes du type à enchaîner deux Ironman dans la même semaine, peut-être qu’il serait justifié de prendre rendez-vous avec Joanie et de planifier ce que vous allez manger. Si on cherche une belle réponse toute faite, évitez les aliments trop gras et les protéines avant un entraînement. On vise les glucides pour nous donner l’énergie nécessaire. Mais encore une fois, n’étant le spécialiste du rien, il vaut bien communiquer avec Joanie et écouter son balado pour s’informer. Je ne vous laisserai pas sans vous rappeler que les suppléments peuvent aider. Voyez le tout comme une pyramide : à la base, on retrouve des repas équilibrés, un bon entraînement, et en haut, dans le dernier 5%, on nage dans le monde des suppléments. Ceux-ci peuvent faire une petite amélioration dans notre performance (par petite, on estime autour de 3%), mais les suppléments ne vont jamais régler de mauvaises habitudes de vie.

Comme trop de moutarde-choux. Patrick Richard

BONUS : La conversation continue avec Patrick et Joanie dans la vidéo. Consultez le bonus!

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